sábado, 4 de abril de 2009

Obama's gift to HRM Queen Elizabeth II: An Ipod

American President Barack Obama met Queen Elizabeth II in the UK today, and they exchanged gifts, which is customary. The Queen gave Obama a photo of herself, and what did Obama give her? An iPod!
The prez must have gotten wind of the Queen's geeky proclivities, like her YouTube channel or love of viral videos.
The iPod has footage of her US visit from 2007, but no deets yet on what kind of iPod it is or if there's a presidential mix tape hidden in the playlists.
Source
Paris : La tour Eiffel à 120ans aujourd'hui "Happy Birthday"

Que serait Paris sans la Tour Eiffel ? Mais sans un certain Maurice Koechlin, y aurait-il eu la Tour de M. Eiffel, dont on célèbre le 31 mars les 120 ans d’existence ? L’histoire de la Tour Eiffel commence bien avant 1889. Pour Maurice Koechlin, elle date de 1879, date à laquelle il vient travailler avec Gustave Eiffel, dont la réputation n’est plus à faire. À 23 ans, le jeune ingénieur né à Buhl, dans le Haut-Rhin, est embauché pour diriger le bureau d’études de la société de Levallois-Perret où est établi Gustave Eiffel. C’est l’époque de la construction du viaduc de Garabit, autre chef-d’œuvre du roi de la poutrelle métallique.Eiffel a d’abord rejeté le projet : Au printemps 1884, Paris décide d’accueillir une exposition universelle pour célébrer le centenaire de la Révolution française. Les projets fleurissent, du plus sage au plus délirant. Maurice Koechlin et son collègue Émile Nouguier proposent à leur patron de construire une tour de grande hauteur au cœur de la future exposition. Comme le raconte le site internet consacré aux Koechlin, les deux amis proposent un avant-projet qui comprend quelques croquis et les premiers calculs. Eiffel regarde le projet et répond que cela ne l’intéresse pas, mais que si ça leur plaît, les deux hommes peuvent continuer à travailler dessus. Koechlin et Nouguier prennent l’avis de deux hommes, dont celle d’Auguste Bartholdi, à qui ils montrent un grand dessin plus abouti de leur projet de monument. Il faut aussi savoir que la société Eiffel s’occupera de l’armature de la Statue de la Liberté créée par Bartholdi.Eiffel, impressionné par de tels patronages, trouve finalement que le projet est bon. Il l’accepte, si bien qu’il met son nom en avant et, en 1884 signe un contrat avec ses deux ingénieurs qui lui cèdent la propriété exclusive du projet.Le jury qui doit examiner la bagatelle de 107 projets retient finalement celui d’Eiffel. Une énorme équipe se met au travail. 50 ingénieurs et dessinateurs exécutent 5300 dessins pendant que 18 000 pièces sont fabriquées à l’avance par une centaine d’ouvriers.Le 26 janvier 1887, le chantier démarre au Champ-de-Mars par le creusement des fondations. En résumé, il s’agit de construire un monument de 125 m de côté et de 300 m de hauteur. Les travaux démarrent sous les lazzis et les quolibets, voire l’hostilité de bien des témoins de l’époque. Une pétition, signée de grands artistes et intellectuels, débute ainsi : « Nous venons, écrivains, peintres, sculpteurs, architectes, amateurs passionnés de la beauté jusqu’ici intacte de Paris, protester de toutes nos forces, de toute notre indignation, au nom du goût français méconnu, au nom de l’art et de l’histoire français menacés, contre l’érection, en plein cœur de notre capitale, de l’inutile et monstrueuse tour Eiffel, que la malignité publique, souvent empreinte de bon sens et d’esprit de justice, a déjà baptisée du nom de "Tour de Babel "».Deux ans de travail : Les travaux se poursuivent sans provoquer mort d’homme, contrairement aux prévisions. Eiffel et ses équipes se battent contre le vent, le froid pour mener à bien leur pari de monter un puzzle de 10 100 tonnes, assemblées par 2,5 millions de rivets. Le prix de l’édifice est proportionnel à sa taille : 7,8 millions de francs-or. Le 31 mars 1889, la Tour est inaugurée après deux ans, deux mois et cinq jours de travail. Elle culmine à 312 mètres au-dessus de Paris. Cent vingt ans après, la Tour Eiffel est toujours là.A voir : Sur les traces de Gustave Eiffel ! Voici le premier documentaire réalisé par le comédien Charles Berling. Il a choisi de retracer la vie de Gustave Eiffel, à l'occasion du 120ème anniversaire de la Tour Eiffel. Ce film, essentiellement fondé sur la correspondance de Gustave Eiffel et sur les témoignages de ses descendants, nous raconte l'histoire de sa vie d'homme, d'ingénieur et d'inventeur. Il met en lumières différentes périodes, connues ou moins connues, une ascension fulgurante, parfois dans l'adversité, la gloire, le déshonneur et une seconde carrière scientifique qu'il entamera à 70 ans.Au delà de la légendaire Tour Eiffel, le documentaire reviendra sur l'ensemble de son oeuvre, à travers des images d'archives, fixes ou animées, des interviews, des déambulations et des errances dans les lieux de sa vie. Il permettra de comprendre la foi de cet homme dans le progrès ainsi que ses combats dans un pays en grande mutation, à l'époque de l'ère industrielle."Constituée d'archives et de documents inédits, la biographie de cet homme est ponctuée, tels des allers-retours du passé au présent, de témoignages de descendants, qui à travers leurs souvenirs de famille donnent libre cours à leur subjectivité, et de quelques entretiens avec des historiens qui apportent un regard plus objectif. » Charles BerlingDiffusion sur France 5 le jeudi 7 mai à 21h35, une soirée art et culture présentée par Laurence Piquet, à l'occasion des 120 ans de la Tour Eiffel.Exposition sur la Tour Eiffel à la Mairie de Paris en maiSurprise : Here/Ici




sexta-feira, 3 de abril de 2009


Her Majesty and The G20 Group.


Was it a serious meeting or just tea?
I wonder!


It Really Deserved the Academy Award!!!

What I feel for this movie isn't just admiration, it's mad love. And I couldn't be more surprised. The plot reeks of uplift: An illiterate slum kid from Mumbai goes on the local TV version of Who Wants to Be a Millionaire and comes off like a brainiac. Who wants to see that? Final answer: You do. Slumdog Millionaire has the goods to bust out as a scrappy contender in the Oscar race. It's modern India standing in for a world in full economic spin. It's an explosion of color and light with the darkness ever ready to invade. It's a family film of shocking brutality, a romance haunted by sexual abuse, a fantasy of wealth fueled by crushing poverty.
You won't find many fairy tales that open with a graphic torture scene. The cops think 18-year-old Jamal Malik (a sensational Dev Patel) is a fraud. Goaded by the show's host (the superb Anil Kapoor), the police inspector (Irrfan Khan) is determined to beat the truth out of Jamal before he goes back on the show and hits the jackpot of 20 million rupees. Presumably this is not the way Regis Philbin ran things when the show hit America in 1999.
Brimming with humor and heartbreak, Slumdog Millionaire meets at the border of art and commerce and lets one flow into the other as if that were the natural order of things. Sweet. Screenwriter Simon Beaufoy (The Full Monty) brings focus to Q & A, the episodic Vikas Swarup novel on which the film is based. Still, the MVP here is Danny Boyle, who directs the film brilliantly. Boyle is the Irish-Catholic working-class Brit who put his surreal mark on zombies (28 Days Later) and smack addicts (Trainspotting), and made us see ourselves in their blood wars. Those movies were so potent, as was his 1994 debut, Shallow Grave, that we looked the other way when Boyle went Hollywood with The Beach and screwed up with A Life Less Ordinary. Somehow we knew that Boyle had the stuff to work miracles.